Parmi les "gestes qui sauvent" : Essuyer les baguettes (qui seront réutilisées), jeter par terre ce dont on ne veut pas (les bouts de gras), éventuellement se moucher par terre avec les doigts. Question anticorps, nous avons du retard. Mais tout ça est tellement bon...
Après le bun cha, nous allons à la recherche d'un élastique pour un pantalon d'Annie (oups, j'ai trahi...) Au Vietnam, les rues sont spécialisées : il y a la rue des téléphones mobiles, déjà citée, celle des marchands de tissu, celle des accessoires de moto, des quincaillers, et... des merceries. Mais acheter ici révèle des surprises : Vous vouliez un bout d'élastique ? Il faudra acheter le rouleau de 200 m. Pas moyen de négocier.
Un taxi nous dépose au Temple de la littérature, construit en 1070, ancien collège national, doté de 5 cours séparées par des portes laquées. Une partie du toit de tuiles est en réfection et livre ses secrets. Du bel ouvrage.
Un autre taxi et nous voilà "à la maison". L'ascenceur est aussi en panne qu'à midi, mais M. Dat nous arrange ça de main de maître. Heureusement car il faut se préserver pour une nouvelle ballade dans le vieil Hanoi demain.